Dès 1990, Nantes Métropole agit dans le sens du développement durable et de la cohésion sociale en suivant le fil rouge de son Agenda 21. Avec l’arrivée à terme de son premier plan climat, Nantes Métropole se mue en éco métropole.

Très tôt, les élus ont considéré qu’une métropole durable était une métropole mobile, pour tous et dans le respect de l’environnement. Première ville en France à avoir réhabiliter le tramway, elle innove, en 2006, avec le busway, dont le succès est immédiat, et n’a cessé d’élargir son offre de transports alternatifs.

Nantes Métropole a aussi engagé une politique de reconquête des espaces naturels et aquatiques, devenant ainsi une métropole verte et bleue. Le projet de l’Ilette en est une illustration. La zone humide s’ouvrira sur une des trois forêts urbaines que l’agglomération va créer.
Elle lutte aussi contre l’étalement urbain par la reconquête des surfaces agricoles et le soutien à l’agriculture. Elle encourage aussi les initiatives qui resserrent les liens entre campagne et ville.
Sa politique de l’habitat et de l’urbanisme vise à développer la cohésion sociale et les solidarités entre les territoires et les générations. L’objectif est de mixer les quartiers et les populations. Situé dans un parc, l’éco-quartier de Bottière-Chénaie combinera mixité sociale et fonctionnelle.

Avec le lancement de la 2ème phase de son plan climat, Nantes Métropole met en place une nouvelle gouvernance pour impliquer et motiver les entreprises et les citoyens. Les « ateliers citoyens » constituent un outil de dialogue utile avec les habitants.

Enfin, le plaisir à être dans la ville passe par la culture qui fédère le territoire et ses habitants, constitue un vecteur d’intégration et de cohésion sociale et permet de développer l’attractivité de l’éco-métropole.

Aménagement durable ; Aménagement urbain ; Ecoresponsabilité ; insertion sociale ; mobilité urbaine ; nature en ville ; Transports Mobilité ; transports urbains